jan 29 2010

A long road ahead

Je commence un lent travail sur moi même, et je me fais aider par une psychanaliste pour ça. Je veux que ça change… Je veux vivre… Et je veux trouver un moyen de vivre heureux un jour…


jan 1 2010

Fuck 2009

L’année 2009 se termine enfin… Pas trop tôt… Une année de merde… Est-ce que pour autant les choses iront mieux en 2010 ? J’en doute, y a pas de raison pour que ça change…


oct 25 2009

Dead Inside

Nothing left to loose but my sanity…


oct 4 2009

What’s the point

J’ai besoin de parler à quelqu’un et en même temps je n’ai envie de me confier avec personne. Je suis fatigué et résigné… J’ai cessé de croire que j’avais une chance, que tous les efforts que j’ai fait pour m’améliorer depuis deux ans seraient payants un jour. Que dalle… J’y crois plus. J’ai perdu plus de 20 kilos… A quoi bon. Ça ne me rend pas plus séduisant. J’ai travaillé mon look… A quoi bon. Ça ne me rend pas plus intéressant…

Je tente d’utiliser les services à la con de sites de rencontre et en moins de deux jours le principe me dégoute et j’ai pas la moindre envie de répondre aux nanas qui me contactent.

Je me condamne tout seul à la solitude ou bien je me suis résigné à accepter cette malédiction… Je ne sais pas. Plus rien ne m’intéresse. Ni les gens, ni le boulot… Je me fous de ce qui m’entoure, je me fous de mes amis, de ma famille. J’en ai juste ma claque… Pour changer.


août 24 2009

Aimer c’est renoncer à soi

C’est dur… Dur de l’entendre se morfondre sur ses sentiments, sur le fait qu’elle l’aime encore et qu’elle est prête à l’attendre même si il a fait le choix de rester avec sa femme. C’est pas dur parce qu’elle me saoule ou que je suis jaloux ( et jaloux je le suis certes). Nan c’est dur parce que je la sens vraiment profondemment triste, blessée et que je déteste la voir dans cet état. Je déteste la voir souffrir.

J’aimerai réussir à lui redonner le sourire, j’aimerai la voir heureuse même si c’est pas avec moi. J’ai accepté l’idée de souffrir pour rester prêt d’elle. De la voir aimer d’autres que moi, qui n’aurait jamais que son amitié. Mais c’est tout aussi précieux à mes yeux.

C’est dingue ce que j’ai mal, et en même temps je suis totalement résigné. Mais bon à quoi bon lutter. Je fais pas le poids. Contre personne…


août 14 2009

Masochisme quand tu nous tiens

Voilà que je me mets à faire des crises d’angoisse de manière régulière maintenant…

Difficultés à respirer, sentiment d’impuissance, renoncement…

Pfff, le week-end s’annonce rude… Coincé à tenir la chandelle au milieu d’un espèce de ménage à trois… Pourquoi j’ai dit oui quand on m’a invité ? Pourquoi ? Pour avoir un oeil sur elle parce que je suis jaloux ? Jaloux de quoi ? Je te rappelle que ce que tu ressens est à sens unique dugland…

Je vais passer un mauvais week-end, et je me suis moi même mis le pied dans le piège à ours, avec le sourire en plus.


août 8 2009

Mourir me ferait un bien fou

La souffrance est disponible en deux saveurs. La morale et la physique. Mais les moyens de lutter contre chacune de ses facettes sont relativement identiques. Se droguer jusqu’à engourdir soit le cerveau, soit les nerfs.

Mais pourtant, sans vouloir manquer de respect aux malades les plus atteints, je me dis souvent que la souffrance morale est plus douloureuse et bien plus difficile à éradiquer que la souffrance physique.

On la porte avec soi, comme un fardeau impossible à déposer, elle est tellement présente que vous finissez par l’adopter et la considérer comme un aspect normal de votre vie, tout en continuant à souffrir. Une douleur lancinante, omniprésente et silencieuse.

J’ai l’impression qu’elle ne me quitte jamais, qu’elle refuse de me laisser en paix, qu’elle refuse que je puisse trouver un peu de bonheur. Qu’elle s’arrange pour que je tombe amoureux de filles qui ne sont pas faites pour moi, juste histoire de raffermir son emprise sur moi, se repaissant de mon désir de inassouvi de trouver l’âme soeur. Comme une malédiction qui me suivrait sans relâche. Me pointant du doigt en ricanant quand une nouvelle fois je tombe le bec dans l’eau et constate que jamais rien ne marche. Jamais.

Et visiblement, elle est tellement ancrée en moi que je n’hésite pas à me faire souffrir de moi-même. En me mettant dans des situations qui, je le sais d’avance, n’auront d’autre résultat que de me ronger de l’intérieur jusqu’à ce que la folie me guette.

Vais-je devenir cinglé ? Vais-je me transformer en un de ces prophètes fous vociférants qu’on croise parfois dans les couloirs souterrains du métro parisien ? Vais-finir par développer des pulsions de mort si fortes que j’en passerai à l’acte ? Vais-je me transformer en serial-killer et me venger de l’univers tout entier ?

Qu’est-ce que ma souffrance attend de moi ?


août 7 2009

Gesticuler pour oublier

User le corps jusqu’à la corde pour empêcher l’esprit de penser. C’est assez efficace finalement. J’espère juste que je vais tenir le rythme. Natation et marche à pied pour commencer… Mais va vite me falloir plus si je veux vraiment éviter tout risque de cogitage. Devenir hyperactif.

Ca a un avantage, je stabilise mon poids et je fais un peu de muscles…

N’empêche ! Même si au final, le rejet que j’ai subi est plus simple à supporter qu’une véritable rupture, j’arrive pas à me la sortir de la tête.

I got her under my skin.

Des fois je me dis qu’il serait plus simple d’être insensible et d’user des nanas comme de kleenex comme savent si bien le faire ces connards qui semblent ne jamais avoir d’état d’âme et vivre dans une béatitude constante, fiers d’eux, fiers de leur connerie et de leur inhumanité, célébrant chaque conquête d’une encoche à la ceinture, comme un chasseur compterait le nombre de lapins tués, puis abandonnant les “restes” une fois satisfaits.

Enfin je me dis ça 30 secondes… Pas plus… Faut pas déconner non plus.


juil 30 2009

Les jours se suivent…

On pense avoir toucher le fond, on attend de rebondir, on se dit que c’est juste une question de temps et que les choses vont forcément s’améliorer. Et puis on vous passe une pelle et vous vous rendez compte que la terre est suffisament meuble pour creuser plus profond encore.

Se rendre compte qu’on a dans ses proches de parfaits connards qui trompent leur femme, avec quelqu’un qui vous est cher en plus.. Voir qui vous attire… Ca a le don de faire mal… Très… Se rendre compte qu’en plus l’enfoiré n’a visiblement pas l’excuse d’être amoureux mais juste de n’écouter que sa bite et de jouer sur deux tableaux… Ca rend aigri, en colère, ça donne envie de mordre, de tuer, de lui mettre le poing dans la gueule, de tout dire à sa femme.

Alors on se lâche et on avoue tout à la jeune femme qui vous émeue et qui se sentait suffisament en confiance avec vous pour vous parler de ses chagrins amoureux avec le connard en question… On lui dit qu’on a des sentiments pour elle et on sait… On sait à l’instant où c’est dit, que ce sera la fin de tout espoir de relation avec elle. Mais au moins, on se sera montré honnête, pas comme certains…

Je ne suis qu’un ami… C’est tout ce que j’ai toujours été tout au long de ma vie avec toutes les femmes que j’ai croisé et que j’ai pu aimé… Je ne suis qu’un ami… Rien de plus… Je suis un garçon bien, si elles avaient une soeur, elles me la présenteraient, parce que je suis un mec bien… Mais ce qu’on ne dit pas le jour de la distribution des rôles, c’est que les garçons biens sont toujours tout seuls. Parce que dans la vie, y a deux sortes de gars, ceux qui tiennent le flingue, et ceux qui creusent…

Alors je prends ma pelle et je creuse…


juil 6 2009

Insomnies

Je suis crevé. Je le sens dans tout mon corps. Mais ma tête me donne l’impression d’être sur le point d’exploser. Ca fait deux heures que j’essaye de trouver le sommeil mais tout ce que je fais c’est regarder le plafond. Je suis incapable de me détendre et de cesser de cogiter.